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LA VIE PLUS FORTE QUE LA MORT
22 novembre 2016

ARRÊTEZ LE MASACRE Les Grandes Puissances Du Monde !

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Beaucoup des personnes sont contre les photos de ce qui se passe.

Je ne veux pas rester tranquille chez moi. Oui, j'ai des souffrances comme tout

le monde, mais je ne peux ne pas sentir dans ma chair ce qui vivent

ces hommes et ses familles où les enfants meurent chaque jour.

Nous manifestons pour l'ecole, pour les agriculteurs, pour le bien de la planète,

et bien des autres manifestations, c'est bien et néssaire, mais Alep

se meurt tous les hôpitaux ont été bombardés. Des enfants sans pouvoir se 

soigner. Même ils ne peuvent pas avoir accée à la norriture.

Bougons-nous et manifestons pour eux. 

Vous les Gouvernements ne faites RIEN. Les avions de Russes peuvent 

bombarder les hôpitaux VOUS VOYEZ ET SAVEZ TRES BIEN !!! Et vous ne

faites RIEN.

Nous la planète nous sommes tèmoins de ce génocide !

 

Noël va arriver... et vous conntinuerez de les massacrer !!!

Vous êtes de tirans, qui ne regardez que votre comodité... c'est bien,

Vous trouvez cela aurisant... Mais vous ne faitez RIEN.

Et même pour ne RIEN faire vous êtes payés !

Comment ce fait-il que personne ne bouge pas.

 

Alep pilonné, l’ONU «horrifiée»

Par Hala Kodmani — 20 novembre 2016 à 20:57

 

 

Il hoquette, sanglote et mitraille ses paroles. «La poussière blanche enveloppe tout, comme un épais brouillard. On a du mal à voir devant nous, à distinguer les morts des blessés et des survivants. Ceux qui étaient en salle d’opération, certains sous anesthésie, sont morts ; les malades qui ont tenté de fuir par l’escalier ont été tués. D’autres dans les chambres ont été déchiquetés», raconte dans une succession de messages vocaux sur WhatsApp, Nader, 24 ans, infirmier à l’hôpital Omar Ben Abdelaziz d’Alep-Est.

Il doit alors se précipiter dehors avec un médecin et deux patients de l’établissement toujours bombardé. «Une heure entière que les tirs s’abattent de tous les côtés sur l’hôpital. Je suis maintenant à 200 mètres. Je vois les obus tomber, tirés par les batteries de l’artillerie de l’armée. L’aviation pilonne en même temps, en ce moment même. Des missiles, des barils et je ne sais quels autres projectiles. Personne ne peut s’approcher.» Pendant ce récit qu’il fait à Libérationdimanche, on entend l’essoufflement du jeune homme qui se mêle au sifflement des roquettes tirées autour de lui.

Pluies d’obus

C’est dans la nuit de vendredi à samedi que l’un des derniers hôpitaux remis en fonction à Alep a été détruit par un déluge de bombes. Le pilonnage de la partie assiégée de la ville syrienne, commencé trois jours plus tôt, a connu une intensité «sans précédent», comme le disent chaque fois les habitants. «Continu, systématique, il touche tous les quartiers depuis deux jours avec des armes de plus en plus diversifiées. Le largage de barils de chlore par les hélicoptères s’est multiplié. Des dizaines d’enfants ont été asphyxiés, souvent jusqu’à la mort.» About Taym al-Halabi, le jeune photographe qui prononce ces paroles, a pris en photo l’un de ces conteneurs de gaz de chlore dans le quartier de Masaken Hanano.

Les casques blancs, ces secouristes volontaires en zone rebelle, confirment : au moins quatre personnes seraient mortes après une attaque avec des agents suffocants suspectés d’être du chlore. Depuis mardi, ils ont recensé 2 000 obus d’artillerie et 250 frappes aériennes. Ils ont publié sur leur page Facebook des vidéos et des photos témoignant de la violence des bombardements. Selon eux, 61 civils ont été tués durant la seule journée de samedi, qualifiée de «catastrophique». Les secouristes ne peuvent pratiquement plus intervenir sans s’exposer aux pluies d’obus. Des dizaines de victimes restent coincées sous les décombres de leurs maisons détruites.

Sur le terrain, les troupes du régime, soutenues par des milices iraniennes, notamment, tentent d’avancer depuis quelques jours sur plusieurs fronts au sud-est de la partie qu’elles encerclent depuis trois mois. Leurs assauts ont été repoussés jusque-là par les groupes rebelles. Ces derniers bombardent de leur côté la partie ouest d’Alep, sous contrôle du régime. Dix personnes, dont sept enfants, ont été tuées par les tirs qui ont touché une école, selon la télévision officielle syrienne. Les deux forces qui s’affrontent sont toujours incapables de gagner du territoire.

Depuis dimanche, les réactions internationales à cette escalade meurtrière ont commencé à se manifester. La conseillère américaine à la sécurité nationale, Susan Rice, a ainsi condamné samedi les «atroces»bombardements des quartiers rebelles d’Alep et en particulier «les terribles attaques contre des installations médicales et les travailleurs humanitaires». Ajoutant que «le régime syrien et ses alliés, la Russie en particulier, sont responsables des conséquences immédiates et sur le long terme de tels actes.»

Aucune aide

L’ONU s’est dite «horrifiée» par la montée des violences en Syrie et a appelé à un accès immédiat à Alep. «Les Nations unies sont extrêmement attristées et horrifiées par la récente escalade des violences dans plusieurs régions de Syrie et appellent toutes les parties à cesser les attaques contre les civils et les infrastructures civiles», ont déclaré les coordinateurs humanitaires de l’ONU pour la Syrie. L’émissaire des Nations unies pour la Syrie, Staffan de Mistura, a effectué dimanche une visite à Damas afin de s’entretenir avec les responsables du régime. L’ONU tente en vain depuis le début du siège d’Alep-Est, il y a trois mois, de négocier l’entrée d’un convoi d’aide humanitaire ou médicale.

Vendredi, Jan Egeland, qui appartient à une ONG norvégienne impliquée dans les discussions, affirmait que «les groupes de l’opposition armée ont accepté un plan humanitaire des Nations unies pour Alep-Est. Nous attendons le feu vert de la Russie et du gouvernement syrien». Dimanche, il attendait toujours. «Pas une seule aide humanitaire ou médicale n’a pu entrer dans la partie est d’Alep depuis le début du siège», confirme un porte-parole des rebelles. Et d’ajouter : «89 personnes ont échappé au siège vendredi», en désignant ceux qui ont perdu la vie ce jour-là.

Hala Kodmani

 

 

Voilà juste un petit peu de ce qui se passe.

 

Comme beaucoup disent :

S'il y a Dieu...Il leur demandera des comptes !

Pour ce qui me concerne, je crois que Dieu voit tout cela. Non, ne me dites pas 

pourquoi ne fait-il quelque chose ! 

Dieu leur donne le courage de vivre encore au milieu de ce cimetière. 

Pourquoi des parents assassinent leur propre enfant ?

Pourquoi la violence gratuite ? 

Pourquoi des vies dans le ventre de leur mères n'ont pas le droit de vivre ?

Pour moi il y aura Noël cet année. Lorsque je dis cela je parle des festivités.

 Je suis en colère mais surtout j'ai une terrible peine de voir tout cela.

 

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Des petites bouteilles d'eau pour chacun... 

L’ambassadeur russe à l’ONU, Vitali Tchourkine (en haut, à droite) met son véto à la résolution française pour « sauver Alep », samedi 8 octobre, au Conseil de sécurité des Nations unies, à New York. / DOMINICK REUTER/AFP

 

 

Je ne met pas des photos pour les " âmes sensibles " 

C'est mieux de se distraire avec autre chose...

 

Si, LA VIE est plus forte que la mort !

Ces gens qui meurent à Alep et ailleur sont plus vivants que nous.

Il y a des tèmoignages magnifiques de ses personnes d'Alepp.

Vous trouverez un magnifique dans mon autre blog 

http://nanipeinture.eklablog.com/

 

 

 

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 GOD BLESS YOU

 

 

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